dimanche 6 février 2011

SPIDER-MAN 133.ENFIN UN VENT D'AIR FRAIS!

Ce mois-ci, L'ami Spidey, m' a assez réjoui, l'action et le dépaysement au rendez-vous, cette revue ne nous avait plus habitués à cela. Et pour une raison bien simple, nous y trouvons une histoire estampillée Astonishing Spiderman et Wolverine! Un beau programme en perspective, qui tient sa promesse d'allécher la curiosité du simple lecteur familier,blasé  peut-être de notre monte-en l'air, en perte de vitesse depuis l'affaire Méphisto!Ainsi nous avons le plaisir de trouver associer les deux plus célèbres personnages de l'écurie Marvel dans une histoire où nos deux compères flirtent avec le voyage temporel: tous deux se retrouvent via le "pouvoir" de pierres mystérieuses, projetées à l'âge préhistorique.Wolverine devient le chef d'une tribu qu'il protège contre un environnement hostile et Spider-man s'est réfugié seul , à flan de montagne, perdu dans la solitude de ses pensées...
Bien sûr, les deux compères risquent d'être surpris par un météore, celui-là même, qui a surpris nos amis les bêtes, durant le crétacé et qui a signé la perte des grands reptiles! C'est pourquoi Spidey n'arrête pas de dire à un Wolvie taciturne, qu'il ne faut pas qu'il s'implique dans la protection du bien nommé "petit peuple"car il risque de changer la courbe du temps!Puis après un p'tit moment, arrive ce qui doit arriver, la météorite!Seulement cette dernière, à son extrémité, se voit doter des mêmes petites pierres blanches, qui ont propulsé nos amis lors d'un braquage, à l'âge de Pierre! L'impact arrivant, les deux "vengeurs"disparaissent et se retrouvent "ailleurs"dans le futur en compagnie du petit peuple, contre de grands sauriens métalliques!
Malgré les apparences, ce n'est pas une histoire comique, au contraire cette
histoire tient en haleine, et apparemment les deux ne s'entendent pas vraiment ,contrairement à ce que l'on pourrait penser de leurs rencontres passées; en fait ils n'ont pas l'air de s'apprécier du tout:étrange choix narratif de Jason Aaron mais qui possède le mérite tout au moins, d'exacerber la tension respective et réciproque des deux "amis".Adam Kubert présente un dessin toujours agréable à l'œil, mettant comme à son habitude l'expression des visages en valeur .On tient là une très bonne histoire, on pourrait même penser qu'elle n'est pas dans la continuité alors que si.Vivement la suite, c'est du tout bon, et cela fait bien plaisir de retrouver de la qualité sur un titre Spidey même s'il partage la vedette avec le Nabot.On en redemande...


L'histoire suivante, met en scène la chatte noire et notre tisseur, face à Mr Négative, roi de la pègre New Yorkaise.La chatte Noire se montre très câline et Parker pour une fois à l'air d'apprécier, vu qu'ils se retrouvent tous deux, nus et au lit!Pour une fois Parker s'est laissé aller à des penchants lubriques  mais comment résister à un  joli minois félin quand on est une Araignée, vu que Parker a bien gardé d'enlever son masque durant ses galipettes!
Bon on tient ici une histoire agréable, détendue et urbanisée par le dessin  très bon de Michael Lark, qui a déjà officié pour la série Dardevil et qui sait donc bien mettre en valeur les héros urbains!

Les deux dernières histoires sont plus anecdotiques,avec un flash Thompson se battant contre son handicap et un J.Jameson retrouvant du poil de la bête!

VERDICT:UN BON CRU OÙ L'INTÉRÊT REPOSE PRINCIPALEMENT SUR ASTONISHING SPIDERMAN ET WOLVERINE. UNE BONNE IDÉE DE PANINI D'AVOIR INSÉRER CETTE HISTOIRE PARMI LES AMAZING SPIDER-MAN DE CETTE REVUE.GAGEONS QUE CETTE HISTOIRE SERA ATTIRER DE NOUVEAUX LECTEURS CAR ELLE LE MÉRITE.
UN PETIT MOT ENCORE SI VOUS VOULEZ VOUS PROCUREZ LA REVUE VARIANTE :ELLE EST VRAIMENT MAGNIFIQUE AVEC UNE COUVERTURE DÉPLIANTE GÉANTE EN RECTO ET CINQ COUVERTURES VERSO ESTAMPILLÉES TRON.COMME ELLE SE FAIT RARE, JE SAIS QU'IL EN RESTE ENCORE, CHEZ MON DEALER PRÉFÉRÉ, ALORS DÉPÊCHEZ-VOUS, ELLE VAUT VRAIMENT LE COUP!ET C'EST ICI QUE CELA SE PASSE!

1 commentaire:

  1. Entièrement d'accord avec toi la revue est d'un bien meilleur niveau que ce à quoi on était habitué ces derniers mois.

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